Être l'adjointe... d'une patronne!

Comment les patronnes devraient-elles s’y prendre quand vient le temps d’embaucher l’adjointe administrative parfaite? Le blogue de Michele Pellebon Career Vanity s’est penché sur la question…

Pesant d’or

Selon la blogueuse, la patronne typique veut souvent avoir la meilleure adjointe administrative au monde… mais elle refuse trop souvent de délier les cordons de sa bourse pour en payer le prix! Payer plus de 30 000$ dollars canadiens pour une candidate qui a un MBA… trop difficile à concevoir pour certaines d’entre elles!

Les patronnes auraient aussi la fâcheuse habitude de ne pas vouloir être reléguées au second plan. Career Vanity estime en effet que les patronnes accepteraient mal d’être éclipsées par leurs adjointes administratives de très haut niveau… souvent un peu trop talentueuses et compétentes à leurs goûts!

Les vraies affaires

Il faut aussi ajouter que les offres d’emploi cachent fréquemment une grande partie de la réalité du poste en question. Au-delà du verbiage, l’offre d’emploi doit être claire et réaliste; il en est de la responsabilité de la personne qui la rédige. C’est à ce moment seulement que les futures candidates pourront savoir à quoi s’attendre.

Avant d’accepter un nouvel emploi, rien n’est plus primordial également que de s’assurer que les nouvelles tâches effectuées concordent à nos aspirations financières et qu’elles respectent nos convictions profondes. Un problème qui n’a rien de typiquement féminin, rappelle la blogueuse, et qui est tout aussi problématique chez les patrons de sexe masculin…

Bref, chacune doit faire son bout de chemin. Dans le meilleur des mondes, la patronne engage avant tout son adjointe administrative pour ses compétences et son savoir-être… et elle n’est pas jalouse d’elle. De son côté, l’adjointe administrative respecte dès les premiers instants sa nouvelle patronne pour que toutes deux œuvrent au bien commun de l’entreprise.