Les 13 abus des perfectionnistes!

Vous êtes l’incarnation de la perfection au travail ? Veillez néanmoins à ne pas dépasser certaines limites! Carolyn Gregoire vous met en garde contre 13 abus liés à votre perfectionnisme !


1) Votre envie de plaire. Que cela soit au travail, dans la rue ou en famille, plaire à tout prix peut causer des frustrations au point de vous bloquer psychologiquement dans vos projets. Vous n’êtes pas infaillible partout !

2) Votre hargne au travail et la souffrance qu’elle engendre. Pour vous, réussir nécessite d’être au top du top, ce qui implique énormément de travail et donc de souffrance au risque de vous couper du reste du monde !

3) La procrastination. Ironie du sort ! Par peur de vous discréditer, vous n’hésitez pas à remettre vos projets au lendemain.

4) Vos critiques envers les autres. Vous êtes douteuse à l’idée qu’une personne puisse faire mieux que vous. Du coup, vous la critiquer jusqu’à utiliser la discrimination !

5) Le 0% ou 100%. Vous ne concédez aucune alternative possible et partez du principe que ce sera tout ou rien au point que vous ne prenez aucun risques dans votre vie !

6) Votre asociabilité. Partager vos expériences professionnelles ou personnelles avec un collègue est hors de question. Pour cause, vous redoutez les potentiels doutes ou certaines remises en question vous concernant…

7) Votre obsession du détail. Vous considérez la moindre petite erreur comme des échecs...jusqu’à remettre en question vos plans initiaux.

8) Votre vulnérabilité. Une petite faute professionnelle ou un oubli de votre part peuvent vous abattre au point de vous conduire à vous sous-estimer par la suite.

9) Vous êtes toujours sur la défensive. Vous n’acceptez pas la moindre remarque. Cette dernière pourtant justifiée, vous trouverez quand même quelque chose à dire pour votre défense.

10) Votre objectif est sans limites. Il n’y a pas de but final dans votre vie. Dès que vous avez atteint un succès, vous avez l’impression qu’il n’est pas suffisant ou qu’il ne constitue qu’une infime étape.

11) Vous aimez les échecs des autres. Qu'il s'agisse de connaissances ou de parfaits inconnus, vous vous sentez parfois soulagée d’apprendre les échecs autour de vous.

12) Votre nostalgie vis-à-vis de l’école et de son encadrement. Votre enfance vous rappelle les devoirs à la maison, les examens et tout ce qui était décidé par un supérieur(e). Vous étiez dans votre élément.

13) Vous vous sentez coupable. En vous mettant la barre trop haute, vous ressentissez une certaine honte ou gêne lorsqu’un objectif n’a pu être atteint selon vos règles.

Et vous, comment contrôlez vous votre perfectionnisme ?